La nuit,
Elle sait bien se masquer, invisible le jour,
S’embusquer et attendre, pour montrer ses atours.
Échafaude en sous-mains les coups des malandrins ;
Surprenant les lambins au détour d’un chemin.
Profitant du sommeil de notre astre divin,
Elle se faufile à la chute de diurne,
Profite de l’illusion en devenant nocturne.
C’est entre chiens et loups qu’elle fait des ravages.
C’est peut-être en forêt qu’il y a du tapage ?
Par le cri du hibou, voilà qu’elle se dévoile.
La lune, la traitresse, lève le coin du voile.
Grace à elle, voyez-vous, on peut voir les étoiles !
L’onde nous reflète ces astres idylliques.
Et nous voilà parti pour une nuit romantique.
Sur un embarcadère d’une petite mare,
Damoiseau, damoiselle, sont prêts pour le départ.
La nuit devient mutine,
Quand les corps se dévoilent ;
Elle peut-être torride,
Sous une pluie d’étoiles.
Que donnerait-elle pour un p’tit rendez-vous ?
Avec le petit jour, brillant sous le soleil doux ?
Je rêve à l’évènement et c’est ma déraison.
Les hommes seraient-ils sages ? Serait-ce l’unisson ?
Laissons faire la nuit : Rêvons !
Elle sait bien se masquer, invisible le jour,
S’embusquer et attendre, pour montrer ses atours.
Échafaude en sous-mains les coups des malandrins ;
Surprenant les lambins au détour d’un chemin.
Profitant du sommeil de notre astre divin,
Elle se faufile à la chute de diurne,
Profite de l’illusion en devenant nocturne.
C’est entre chiens et loups qu’elle fait des ravages.
C’est peut-être en forêt qu’il y a du tapage ?
Par le cri du hibou, voilà qu’elle se dévoile.
La lune, la traitresse, lève le coin du voile.
Grace à elle, voyez-vous, on peut voir les étoiles !
L’onde nous reflète ces astres idylliques.
Et nous voilà parti pour une nuit romantique.
Sur un embarcadère d’une petite mare,
Damoiseau, damoiselle, sont prêts pour le départ.
La nuit devient mutine,
Quand les corps se dévoilent ;
Elle peut-être torride,
Sous une pluie d’étoiles.
Que donnerait-elle pour un p’tit rendez-vous ?
Avec le petit jour, brillant sous le soleil doux ?
Je rêve à l’évènement et c’est ma déraison.
Les hommes seraient-ils sages ? Serait-ce l’unisson ?
Laissons faire la nuit : Rêvons !
