Envers et jalousie : quand la plume touille l'envie
Au royaume des vers, parfois règne l'envie,
La jalousie des poètes, une drôle de mélodie.
Devant les mots d'un autre, leur plume s'alourdie,
Comme une rime oubliée, une douce folie.
"Oh, ce sonnet divin, cette strophe exquise,
Comment ai-je pu manquer une telle surprise?"
Se lamentent-ils, perdus dans leur spleen,
Face à l'œuvre d'un autre, ils battent des anilines.
Le poète en herbe, un brin de malice,
Regarde le succès de son camarade en délice.
"Pourquoi ses mots résonnent-ils avec tant de ferveur?
Ai-je donc perdu l'art de manier ma plume avec saveur?"
Dans le concours poétique, la compétition s'emballe,
Chacun veut sa part de gloire, que son talent brille.
Mais la jalousie, telle une ombre, les émoustilles,
Les poètes, êtres sensibles, dansent comme des balles,
Alors, chers poètes, que la muse vous sourie,
Ne laissez pas la jalousie ternir votre poésie.
Saluez le génie des autres, partagez votre art,
Dans ce monde de rimes, l'amour n'est pas un fard.
Au royaume des vers, parfois règne l'envie,
La jalousie des poètes, une drôle de mélodie.
Devant les mots d'un autre, leur plume s'alourdie,
Comme une rime oubliée, une douce folie.
"Oh, ce sonnet divin, cette strophe exquise,
Comment ai-je pu manquer une telle surprise?"
Se lamentent-ils, perdus dans leur spleen,
Face à l'œuvre d'un autre, ils battent des anilines.
Le poète en herbe, un brin de malice,
Regarde le succès de son camarade en délice.
"Pourquoi ses mots résonnent-ils avec tant de ferveur?
Ai-je donc perdu l'art de manier ma plume avec saveur?"
Dans le concours poétique, la compétition s'emballe,
Chacun veut sa part de gloire, que son talent brille.
Mais la jalousie, telle une ombre, les émoustilles,
Les poètes, êtres sensibles, dansent comme des balles,
Alors, chers poètes, que la muse vous sourie,
Ne laissez pas la jalousie ternir votre poésie.
Saluez le génie des autres, partagez votre art,
Dans ce monde de rimes, l'amour n'est pas un fard.