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À l’embarcadère (contrepèteries)

apidany

Poète libéré
#1
À l’embarcadère (contrepèteries)
Que d’affluence en ce jour de départ, mettant en présence de nombreux notables, notamment, le préfet de Nîmes venu spécialement pour l’occasion.
Le navire était à quai, une foule nombreuse papillonnait autour.

« Marinières, crie le capitaine, Laissez les péniches ! ». « Retroussez la culotte pour enfiler les patins » ! Crie la femme du capitaine, qui à fait mander un marin à bord. La bonne épouse connaît son dû. J’ai du tracas jusqu’au cou, lui dit-elle ; La malheureuse s’est tordu l’humérus. C’est la discorde dans le ménage quand le beau-père est b.ouilleur de cru.
Monsieur le maire s’exerce sous la flotte, tandis qu’un champion jette avec puissance, la gueuse, aux chasseurs sous-marins cherchant des fonds curieux.
Le préfet Nîmois voudrait bien plus d’écus pour son Gard, mais la duchesse n’est pas femme à découper la biche en trente et sait bien que le maniement réitéré des fonds, multiplie les mouvements de caisses.
Pendant que la marquise lavait son caleçon de satin, avec une belle pierre fine à la main, le marquis caressait le jonc de sa canne, en réfléchissant au nom de la Russe qu’il avait sur le bout de la langue.
J’ai vu les populations laborieuses du CAP, disait le député, réservant au sénateur une belle collection de piques. Rien ne plaît au matin, comme un grand coup de Byrrhe, dit-il, mais il ne faut pas juger le pichet sur la mine. Le prieur qui a tiré son capuce devant le préfet, lui répond : « Vous savez, les cardinaux ne rejettent guère l’habit rouge aux orties et surtout, n’allez pas à la messe sans foi !
Au loin, un marin embrasse la Marion sur le quai. Le jeune homme aimerait diner en pensant : « La jeune Marion m’a fait un beau papier ! ». Une mariée partit avec un grand salut à la noce et un serveur zélé lui demanda : « Voulez-vous madame, des nouilles encore ? ». Allons, ma fille, essuie ça vite et bien, le facteur ne veut pas qu’on chipote quand il trie. Votre père à l’air mutin, dit celui-ci.
Pendant qu’un gros entrepreneur pétrit le béton à la tonne et que l’archéologue mettait le produit de ses fouilles dans les caisses, survint un accident ; un homme a été prit, un doigt dans le trou du fût la main entre les caisses, avec une barrique sur le pied. On apprit plus tard, qu’un chirurgien amputa une jambe.
Une bergère, longeant le verger jusqu’à la berge et s’amusant à voir passer ce pitre, vit une paysanne de ses connaissances, rêvant devant ce beau vendeur. Quel beau métier, professeur, pensait-elle. Ce que j’aime dans votre clip, c’est le son, dit-il. Mais surtout, faites attention, méfiez-vous des dons couteux, répondit-elle.
Sur le bateau, le capitaine était soucieux et pensait, « c’est embêtant que la bise souffle jusqu’au banc.
 
#2
Jesuis fan de ce genre d'excercices,et j'ai rarement ri de si bon coeur...Absolument magique!!! a recidiver rapidement....Amitiés sincères...Pour un nouvel écrit je vous laisse le choix de la date.....Comprenne celui qui sait!!!!
 

tieram

Maître Poète
#3
c'est fait j'ai tout saisi mais je suis celle qui ne comprends pas pour le sujet à trois.
en tout cas merci j'ai bien ri mdr.
et larmesamère comprenne qui pourra j'ai aussi saisi.
Superbe découverte je tenterai à l'occasion.
 

iboujo

Maître Poète
#4
la phrase gaillarde qui se disimule ........."les Nouilles cuisent au jus de Cane ".............j'adore bien que l'excercie soit plutot un divertissement masculin !!! encore.......bisous jojo